Ma vie, mes passions

posté le 19-05-2008 à 13:37:32

MADONNA - THE STICKY AND SWEET TOUR

 

 

 

                  

J'ai ma ma place pour le "The Sticky And Sweet Tour" !!! Pelouse Or pour le 20 & 21 septembre. Clin d'oeil à Alexandra avec qui j'irai au Stade.

 

 

Le Stade de France affiche  complet pour le 20 septembre et  à Nice le 26 août 2008 au Parc des sports Charles Ehrmann, Warner annonce une date supplémentaire pour la France et cela pour le 21 septembre et toujours au Stade de France.

 

 

 

 

 

 


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dexter  le 14-06-2008 à 09:41:54  #

J'ai ma place en VIP silver pour Madonna, je suis très content.

aurore  le 01-06-2008 à 11:44:31  #   (site)

bisous bon dimanche..

AURORE  le 25-05-2008 à 13:52:14  #   (site)

quelle chance !!!

 
 
posté le 17-05-2008 à 21:55:22

Le jardin de maman - 17 & 18 mai 2008

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Orchis purpurea est une orchidée très robuste avec de grandes feuilles vert-brillant non maculées. Ses grandes fleurs sont remarquables avec un casque pourpre foncé et un large labelle profondément trilobé et garni de papilles pourpres. Cette plante est assez répandue en France et peut former des colonies nombreuses. Les individus hypochromes peuvent être rencontrés assez fréquemment ainsi que des hybrides avec d'autres orchis (O. militaris par exemple).

La floraison s'étale d'avril à juin.

 

 

 

 

 

 


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posté le 17-05-2008 à 19:52:49

Concours d'agility le 17 mai 2008

A Saint-Georges, petit village à côté d'Auxerre, se déroulait aujourd'hui un concours amical d'agility. Profitant de mon week-end à la campagne, je me suis rendu à ce spectacle.

 

L'agility (signifiant tout simplement « agilité » en anglais) est un sport canin, dans lequel le chien évolue sur un parcours d'obstacles sous la conduite de son maître.

L'agility est une discipline ouverte à tous les chiens. Elle consiste à leur faire négocier divers obstacles dans le but de mettre en valeur leur intelligence et leur souplesse. Il s'agit d'un jeu éducatif et sportif qui favorise leur bonne intégration dans la société. Cette discipline implique une bonne harmonie entre le chien et son maître et aboutit à une entente parfaite de leur équipe ; il est donc nécessaire aux participants de posséder les bases élémentaires d'éducation et d'obéissance.

 

Dans les équipes confirmées, le chien évolue avec célérité sur le parcours et son maître ne le contrôle plus qu'avec des instructions vocales ou grâce au langage corporel. L'équipe cynophile doit faire preuve d'une grande complicité et le maître fait appel à une obéissance parfaite de son compagnon. En compétition, la précision et la vitesse sont très importantes. En effet, le franchissement des obstacles répond à des règles bien codifiées susceptibles d'entraîner des pénalités. La vitesse ne rentre en jeu qu'à égalité de pénalités, et l'adresse doit primer sur la vitesse : c'est un sport d'adresse avant d'être un sport de vitesse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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aurore  le 17-05-2008 à 20:04:04  #   (site)

il faut de la patience pour arriver à de tels résultats avec les chiens..et les aimer
Heureuse que tu sois revenu.. tu as acheté ton nouvel appareil ?

 
 
posté le 09-05-2008 à 16:19:40

Cimetière du Père Lachaise - le 09 mai 2008

 

 

 

APPUYER SUR LA FLECHE VERTE POUR LECTURE

 

Aujourd'hui, le soleil étant encore radieux je décide d'aller me promener au cimetière du Père Lachaise.

Histoire :

 

Le Père-Lachaise est situé sur l'une des sept collines de Paris, celle de Champ-l'Evêque. Cette dernière, qui couvrait au Moyen-Age l'essentiel de la commune de Charonne, appartenait à l'évêque de Paris. On y cultivait des légumes, des céréales et du raisin vendus sur les marchés de Paris.

Champ-l'Evêque, devenu le "Mont-aux-Vignes", sera racheté par Régnault de Wandonne vers 1430. Ce riche commerçant en épices y construira une luxueuse maison de campagne. Le domaine prendra alors le nom de "Folie-Régnault". Il sera acquis par Marie L'Huillier le 11 août 1626, pour le compte des Jésuites de la
maison professe de Saint-Louis de la rue Saint-Antoine qui y construiront une maison de repos et de convalescence. Louis XIV âgé de 14 ans, accompagné du cardinal de Mazarin, assistera le 2 juillet 1652 aux combats entre les troupes royales de Condé et les frondeurs commandés par Turenne dans le faubourg Saint-Antoine, du sommet de la colline des Jésuites. Le domaine portera alors le nom de "Mont-Louis".

La maison de Régnault, reconstruite et surélevée de deux étages, accueillera le Père de La Chaise, confesseur du roi de 1675 jusqu'à sa mort en 1709. La compagnie de Jésus sera expulsée du domaine en 1762, lors de sa mise en vente pour solder une dette du Père de Jacy. La propriété, acquise par un peintre nommé Jean-Baptiste Gratin, sera revendue à la famille Baron en décembre 1771. Jacques Baron, ruiné, cédera les 17 hectares de Mont-Louis au préfet Nicolas Frochot le 9 ventôse an XII - pour la somme de 180 000 francs.

Celui-ci décidera d'y créer le troisième cimetière extra-muros de Paris, dit cimetière de l'Est, après le cimetière du Nord (l'actuel cimetière Montmartre) et le cimetière du Sud (le cimetière du Montparnasse). A cette date, les cimetières intra-muros parisiens étaient saturés, la ville ne savait plus quoi faire de ses morts et le risque d'épidémie était permanent. Le 21 mai 1765, déjà, une ordonnance du Parlement de Paris avait statué : "le sol ne pouvant plus consommer de cadavres, les cimetières en ville doivent être supprimés". Au moment où Frochot lance son projet, les Parisiens gardent encore le souvenir des deux millions de squelettes transférés de nuit, quarante ans auparavant, à la lumière des flambeaux, du charnier des innocents, le principal cimetière de la capitale depuis le moyen âge, jusque dans les catacombes de la Porte d'Enfer. Autant que possible donc, il faut faire sortir les morts de la capitale.

Napoléon instituera les fondements des droits et devoirs de la Nation envers ses morts. Réglant le cas des mécréants, athées, suicidés et autres comédiens, trop souvent encore exclus de l'Eglise, il ordonne que "chaque citoyen a le droit d'être enterré quelle que soit sa race ou sa religion". Les sépultures des protestants, juifs, musulmans et orthodoxes côtoieront celle des catholiques. Le cimetière Père-Lachaise ira plus loin dans la tolérance. Outre les tombes faisant allégeance à l'une des religions monothéistes, on remarquera bientôt l'apparition de tombes liées à des sectes ésotériques, à des cultes antiques grecs et égyptiens : ce sont les tombes pyramidales ou en forme d'obélisque, marquées par les emblèmes d'Horus ou d'Osiris, dieux de la mort et de la résurrection. Les tombes des francs-maçons seront bien sûr aussi présentes, avec leur double équerre.

Napoléon imposera des normes de police et d'hygiène renforcées. Son code des communes, qui remet aux municipalités la direction des cimetières, fixera les règles de l'inhumation : suaire, cercueil, pose des corps côte à côte et non l'un sur l'autre, dimensions minimales des cimetières, ventilation, ensoleillement et distance par rapport à l'agglomération urbaine. Le Père-Lachaise sera ainsi le premier cimetière français véritablement laïc et moderne.

Alexandre-Théodore Brongniart se verra confié l'aménagement des lieux en cimetière. Devenu célèbre avant la Révolution pour quelques beaux hôtels particuliers construits dans les quartiers des Invalides et de la Chaussée d'Antin, Brongniart avait aménagé en 1870 - à la demande du marquis de Montesquiou, franc-maçon comme lui - un parc à Maupertuis, près de Coulommiers. Il deviendra l'architecte du palais de la Bourse en 1808.

Le Cimetière de l'Est, d'une superficie de 17 hectares à l'origine, était destiné aux sépultures des Parisiens décédés dans l'un des quatre arrondissements de la rive droite, soit en fosse commune, soit en concession perpétuelle. Brongniart concevra un lieu inédit en France, une sorte d'immense jardin dont les arbres majestueux, d'essences variées, côtoieraient les sépultures sculptées, et dans lequel on pourrait se promener agréablement, le long des allées accidentées, sans être angoissé par la présence de la mort. La mort serait "apprivoisée" dans ce parc où règnent avant tout le charme et la poésie. Les héros stendhaliens Octave et Armance viendront errer dans ce que Stendhal considère à juste titre comme un "jardin anglais, le seul vraiment beau dans sa position qui existe à Paris". L'irrégularité du parc choquera les architectes français du XIXème siècle, fascinés par l'ordre et la symétrie. L'architecte Léonce Reynaud s'offusquera ainsi en 1870 : "Que trouve-t-on au Père-Lachaise ? Une absence complète d'ordre, de caractère, de dignité..."

Les bourgeois refuseront de se faire enterrer dans le cimetière, inauguré le premier prairial de l'an XII (21 mai 1804), situé dans un quartier pauvre et populaire. Le Père-Lachaise ne comptera que 13 tombes en 1804, 44 en 1805, 49 en 1806, 62 en 1807, et 833 en 1812.

 

Le transfert des cendres d'Héloïse et Abélard, de Molière et de La Fontaine, en 1817, balaiera la mauvaise image du cimetière. Ce dernier comptera 33 000 tombes en 1830. Il sera agrandi à cinq reprises entre 1824 et 1850 et loti en 97 divisions délimitées par les allées de l'ancien parc. Il couvre aujourd'hui une superficie de 44 hectares.

Le Père-Lachaise sera le théâtre de violents affrontements entre le 21 et le 28 mai 1871, lors de la Commune. Les Fédérés, ayant installés leur artillerie en plein cimetière afin de repousser les assauts des Versaillais, seront encerclés le 27 mai par les troupes de Thiers, d'un coté, et les Allemands, de l'autre. Les 147 survivants seront fusillés devant le "Mur des Fédérés". On estime à 35000 le nombre de Fédérés enterrés ici.

 


Description :

 

Les plus illustres sculpteurs et architectes du XIXème siècle contribueront à faire de ce cimetière un lieu unique en son genre : Chapu, David d'Angers, Barrias, Garnier, Guimard, Visconti y ont réalisé quelques-uns uns de leurs chefs d'oeuvres.

La bourgeoisie parisienne prendra possession du Père-Lachaise dès les années 1820-1830. Sa volonté de paraître et d'affirmer sa puissance se manifestera sur ses tombes. Ayant recours au vocabulaire et à l'esthétique de l'Antiquité, elle commandera des sépultures en forme de stèles, sarcophages, colonnes, urnes, amphores, sabliers, flambeaux, le tout décoré de lauriers et d'oliviers. A l'image de la sensibilité romantique de l'époque, l'art funéraire sera surtout éclectique, mêlant le gothique au roman, le renaissance au classique.

Le XIXème siècle éprouvera le besoin de rendre hommage à tous ceux qui ont marqué leur époque. La plupart des monuments sont alors financés par une souscription publique. Certains défunts seront inhumés au Père-Lachaise longtemps après leur mort. Théodore Géricault (1791-1824), enterré misérablement, sera ainsi transféré que vingt ans après son décès, grâce à une souscription lancée par Delacroix : "Souscripteurs de toutes couleurs, gens qui encouragez les arts, faites un tombeau à Géricault !".

Le mausolée d'Héloïse (morte en 1164) et Abélard (mort en 1142), figures légendaires du Moyen-Age, sera édifié aux frais de l'Etat. C'est pour obtenir la faveur du public chrétien, hostile tout d'abord à l'idée de ne pas être enterré en terre bénie par l'Eglise, que la Mairie de Paris décida de transférer leurs ossements au Père-Lachaise en 1817, avec ceux des révérends pères jésuites, de Molière et de La Fontaine.

 

MOLIERE LA FONTAINE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les maréchaux de l'Empire reposent également en ce lieu où Napoléon, de Sainte Hélène, avait souhaité être inhumé. Leurs sépultures, groupées dans « le quartier des maréchaux », sont pour la plupart l'oeuvre de David D'Angers (1788-1856), Prix de Rome en 1811, l'un des artistes les mieux représentés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Père-Lachaise est esthétiquement un cimetière du XXème siècle. Il renferme quelques superbes spécimens de vitraux créés en 1900, dans le style Art Nouveau, fait rarissime car l'art funéraire a toujours jugé ce style trop léger. On admirera ainsi les deux verrières latérales de la famille Schrod.

Le cimetière compte de nombreuses tombes de célébrités, parmi lesquelles Gérard de Nerval, Chopin (dont le coeur est à Varsovie) Pierre Desproges, Balzac, Alfred de Musset, Sarah Bernhardt, Pissarro, Proust, Apollinaire, Colette, Simone Signoret...

 

CHOPIN

 SIGNORET - MONTAND

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

APOLLINAIREEDITH PIAF

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 MARIE TRINTIGNANT

 GILBERT BECAUD

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 DUCHESSE DE MAZARINCOLETTE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



FELIX FAURE

Détail amusant : le président Félix Faure, mort dans les bras de sa maîtresse (façon de parler...) est représenté sur son tombeau, enveloppé dans le drapeau de l'alliance franco-russe : on a l'impression qu'il s'agit des draps de son lit.

La tombe d'Oscar Wilde mérite le détour, avec son ange-démon volant sculpté dans un bloc de vingt tonnes, Les testicules du monstre, brisées par deux visiteuses outrées, serviront longtemps de presse-papiers au directeur du cimetière.



On remarquera aussi la tombe de Jim Morrison, chanteur des Doors mort à Paris dans une chambre d'hôtel. Ses fans ont fléché l'itinéraire.

 

 

Victor Noir, journaliste du siècle dernier tué à 22 ans par le Prince Pierre Bonaparte, est représenté en gisant au moment de sa mort. Le sculpteur a pris soin de suggérer une virilité post mortem impressionnante. Cette partie du corps est lustrée par les milliers de mains et de fesses féminines venues quérir une stimulation érotique, la nuit ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ELISABETH DE DEMIDOFF  

 


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aurore  le 17-05-2008 à 02:47:36  #   (site)

hello, j'avais fait aussi un article sur ce cimetiere..reviens avec plein de photos..bisous.. bon WE

 
 
posté le 09-05-2008 à 15:21:21

Christian KAREMBEU - 05 Mai 2008

 

 

Quelques minutes avant la sortie de Kylie Minogue du Crillon, j'en profite pour faire quelques clichés de Christian. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Christian Karembeu (dit Le cheval fou par ses coéquipiers de l'équipe de France en 1998) est un footbaleur français né le 3 décembre 1970 à Lifou en Nouvelle-Célédonie.

Il occupe le poste de défenseur ou de milieu de terrain défensif selon les configurations d'équipe. Il annonce sa retraite de joueur le 13 octobre 2005. 

D'une famille kanak de dix huit enfants, marié avec le mannequin slovaque Adriana Sklenarikova, son rêve était de marquer un but par une aile de pigeon (c'est-à-dire plier la jambe au niveau du genou pour porter le pied sur le côté dans le but de frapper le ballon). À défaut d'avoir réalisé ce rêve, il joue pour le Real Madrid de 1997 à 2000 tout en contribuant à la victoire de l'équipe de France de football lors de la Coupe du monde 1998 enFrance, et au championnat d'Europe des Nations 2000, deux épreuves majeures du football mondial.

Malgré ses nombreuses sélections en Equipe de France, il a toujours refusé de chanter La Marseillaise, en référence au passé colonial de la France dans son pays, la Nouvelle-Calédonie. Son arrière-grand-père paternel faisait notamment partie des kanaks exhibés au jardin d'acclimatation lors de l'exposition coloniale de 1931.

Il finit sa carrière professionnelle au SC Bastia. Il fit quelques mois en Angleterre à Birmingham.

L'Olympiakos a déboursé 5,2 M€ pour l'acquérir en 2001.

En octobre 2006, il devient consultant pour le commentaire des matchs diffusés par France Télévisions.

 


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aurore  le 17-05-2008 à 02:48:02  #   (site)

cool...

 
 
 

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